Une ascension remarquable
Ce 12 septembre marque une étape importante pour l'EM Strasbourg : son Programme Grande École se classe à la 45e place mondiale du classement Financial Times 2025 des 100 meilleurs masters en management. Un bond remarquable qui permet à l’EM Strasbourg de faire son entrée dans le Top 50 mondial pour la première fois de son histoire, tout en affirmant sa position dans le Top 10 français.
En trois ans, l’école a progressé de manière remarquable, gagnant 39 places au classement depuis 2022. Une grande avancée qui témoigne de la justesse de sa stratégie et de l'engagement de toute sa communauté.
Première école de management du Grand Est
Parmi les 25 écoles classées en France, l'EM Strasbourg se place désormais comme la 1re école de management du Grand Est. Une position qui reflète son ancrage régional fort, au service des étudiants, des entreprises locales et de l'écosystème rhénan.
Dans le top 3 français des écoles post-bac
L’EM Strasbourg se distingue également parmi les écoles françaises proposant un Programme Grande École post-bac en se hissant au Top 3 national dans cette catégorie, confirmant le succès du choix de l'ouverture du Programme Grande École aux bacheliers depuis 2024.
Une réussite collective tournée vers l'avenir
Cette reconnaissance internationale met en lumière la pertinence de la stratégie de l’école, la qualité de son Programme Grande École, ainsi que de son modèle unique, faisant de l’EM Strasbourg la 1re business school universitaire de France à bénéficier d’une triple accréditation. Elle témoigne d'un effort collectif porté par les enseignants, le personnel administratif, les étudiants, diplômés et partenaires de l'école.
Comme le souligne avec enthousiasme Christian Buchel, président du conseil d'école depuis janvier 2025 : « Soyons fiers aussi pour notre territoire alsacien et rhénan ! Cette forte progression dans un classement d'excellence à dimension internationale valide en effet la nouvelle ambition de l'EM Strasbourg. Non seulement ce nouveau classement renforce la valeur et la reconnaissance de nos diplômes, mais ce sont, in fine, les entreprises et l'écosystème entrepreneurial dans lesquels servent nos diplômés qui en bénéficieront »